Compilation de poèmes - 002


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(4.4 stars; 26 reviews)

Cette compilation comprend une série de poèmes lus, en langue française, pour LibriVox.
(Ezwa) (0 hr 39 min)

Chapters

À une femme 0:53 Read by Nathalie Mussard
À une passante 1:30 Read by Caroline Sophie
Après trois ans 1:15 Read by Caroline Sophie
C'est l'extase langoureuse 0:59 Read by Nathalie Mussard
Celle qui passe... 1:12 Read by Ezwa
Chats, Les 1:19 Read by Caroline Sophie
Chute des feuilles, La 2:26 Read by Ezwa
Chute des feuilles, La(version 2) 2:07 Read by Ezwa
Chute des feuilles, La(version 3) 2:29 Read by Ezwa
Chute des feuilles, La(version présentée à l'académie de Toulouse) 2:33 Read by Ezwa
Demain, dès l’aube... 0:57 Read by Nathalie Mussard
Djinns, Les 3:52 Read by Leirisanne
Étranger, L' 1:14 Read by Leirisanne
Green 0:54 Read by Nathalie Mussard
Hymne à la beauté 1:53 Read by Nathalie Mussard
Invitation au voyage, L' 1:42 Read by Nathalie Mussard
Mal, Le 1:16 Read by Caroline Sophie
Ni bonjour ni bonsoir 0:42 Read by Sergio Baldelli
Rappelle-toi 1:35 Read by Nathalie Mussard
Recueillement 1:26 Read by Caroline Sophie
Rhône, Le 2:44 Read by Ezwa
Sensation 0:48 Read by Nathalie Mussard
Sonnet : Parle-moi... 1:01 Read by Ezwa
Tu m'as dit un jour... 1:37 Read by Ezwa
Yeux, Les 1:19 Read by Leirisanne

Reviews


(2.5 stars)

mais bon sang un poème ne se lit pas comme on lit le journal. Il y a une métrique à respecter. Un vers de huit pieds c'est huit syllabes que je veux entendre de même pour un vers de douze pieds.

texte


(5 stars)

Le texte d'un des poémes dans cette selection de 25: Charles BAUDELAIRE (1821-1867) A une passante La rue assourdissante autour de moi hurlait. Longue, mince, en grand deuil, douleur majestueuse, Une femme passa, d'une main fastueuse Soulevant, balançant le feston et l'ourlet ; Agile et noble, avec sa jambe de statue. Moi, je buvais, crispé comme un extravagant, Dans son oeil, ciel livide où germe l'ouragan, La douceur qui fascine et le plaisir qui tue. Un éclair... puis la nuit ! - Fugitive beauté Dont le regard m'a fait soudainement renaître, Ne te verrai-je plus que dans l'éternité ? Ailleurs, bien loin d'ici ! trop tard ! jamais peut-être ! Car j'ignore où tu fuis, tu ne sais où je vais, Ô toi que j'eusse aimée, ô toi qui le savais !